L’ampleur des travaux en cours à l’ouest de l’île de Nantes pose la question de la valorisation des terres excavées. La Samoa, société publique en charge de l’aménagement de l’île de Nantes, s’est emparée du sujet en coordonnant un projet expérimental de revitalisation des sols, qui pourra ensuite être étendu à d’autres espaces naturels.



Depuis le printemps 2021, six parterres florissants sont visibles rue Saint-Domingue, entre le Chapidock de l’école de cirque et l’ancien karting. Le futur parc de Loire, dont l’ouverture est prévue à partir de 2025 sert de site d’expérimentation à Sol Paysage. Ce bureau d’études dans l’ingénierie du sol, missionné par la Samoa, y teste différents mélanges organiques naturels afin de redonner vie aux déblais.

Ces rectangles de quelques mètres carrés, d’un mètre de profondeurs, ont accueilli les 500 m² de terres peu fertiles déblayées lors des travaux de l’école de design. Plusieurs couches de limon, de sable et de compost ont été ajoutées, à chaque fois de manière différente.  L’un des parterres est constitué de terre végétale et sert de planche témoin. Afin de reproduire au mieux la composition d’un sol naturel, des analyses sont menées pour tester les propriétés humides et séchantes des mélanges, leurs propriétés agronomiques et la présence de vers de terres, d’insectes et de micro-organismes. C’est la recette d’une revitalisation des terres et du développement des végétaux.

Plus de 800 espèces locales ont été plantées par l’Atelier Jacqueline Osty et associés. Après huit mois, les premières pousses semblent s’épanouir et les différences avec la planche témoin sont minimes. Ces résultats sont pour l’instant probants mais il faudra attendre 3 ans au moins pour en tirer des conclusions.  



L’objectif à terme est de couvrir 70% des besoins en terres pour aménager les 24 hectares d’espaces naturels prévus à cet endroit. Il faudra alors recréer 100 000 m² de terres renaturées !

L’initiative est à saluer car elle répond aux problématiques de l’artificialisation des sols. D’habitude lors d’aménagements de ce type, les terres polluées sont évacuées sur des distances significatives par des camions qui ramènent ensuite des terres végétales. Cela induit une grande perte de ressource primaire et une augmentation de l’impact carbone liée au transport.

C’est donc un bel exemple d’économie circulaire dans le secteur de l’urbanisme. L’enjeu est de taille : d’ici 2035, 350 000 m² de terres seront extraites des chantiers de la pointe ouest de l’île ! Dès 2023, une plateforme fera office de lieu de stockage des remblais, non loin du Hangar à bananes.

Nantes Métropole vous invite à son événement – « Devenez « sherpa » des données éco-responsables du territoire nantais ! » le 18 septembre 2019 à la Conciergerie du Parc.


Vous réfléchissez à l’utilisation du numérique et des données pour favoriser l’écocitoyenneté? Nantes Métropole, membre du réseau, vous invite à un événement adressé aux acteurs de son territoire et ouvert à l’ensemble des collectivités curieuses sur le sujet.

Afin de centraliser l'information, et de certifier la fiabilité des démarches de proximité, Nantes propose des CartoQuartiers, CartoVrac, Réseau éco-événement, etc. qui pourront elles-même être alimentées, partagées et utilisées par tous.

Après l’édition 2018, cette soirée basée sur l'échange vous invite à découvrir l’actualité de ces projets, et y apporter votre connaissance du territoire.


Un projet vous motive ? Devenez « sherpa » du projet !



> Informations sur l'événement : ici

> Contact à Nantes Métropole : Nicolas BOESPFLUG (Nicolas.BOESPFLUG@nantesmetropole.fr) et Maxime SOURDIN (Maxime.SOURDIN@nantesmetropole.fr)

Ouestgo est la nouvelle plateforme de covoiturage de proximité conçue pour tout le Grand-Ouest. Mise en service le 23 mai dernier, elle est portée par les collectivités territoriales du Grand-Ouest pour promouvoir un covoiturage solidaire et quotidien. Cette plateforme collaborative se distingue des autres offres de covoiturage par une série de caractéristiques qui font sa qualité :


Une plateforme commune

Pour répondre aux enjeux d’une mobilité durable et coordonnée, la Région Bretagne, le Conseil départemental du Finistère, les métropoles de Nantes, Rennes, Brest, La CARENE Saint-Nazaire agglomération et l’Etat (DREAL Bretagne) et l'ADEME se sont associés pour fusionner les différentes plateformes de covoiturage déjà existantes (comme covoiturage-finistere.fr ou covoiturage-nantesmetropole.fr) et en recréer une mutualisée sur le Grand-Ouest.

L’intérêt d’une telle démarche est avant tout le partage des coûts de développement et de gestion en faisant appel à une base de données unique mais permet aussi d’éviter la fragmentation des offres de covoiturage et la multiplication des sites, qui peut potentiellement être rebutante pour les covoitureur.euse.s .


Une plateforme publique

Le covoiturage longue distance est de mieux en mieux implanté en France et a déjà trouvé son modèle économique (le paiement d’une commission au site hébergeur). Cependant, le covoiturage de proximité, différent de ce type d’engagement ponctuel, exige un engagement régulier et dont l’intérêt économique se calcule sur la durée. Il est donc actuellement essentiellement financé par les collectivités et/ou les entreprises.

Dès lors, en l’absence d’un modèle économique pertinent pour le covoiturage de trajets courts et quotidiens, Ouestgo fait le pari de l’initiative publique pour proposer une plateforme qui permette la mise en relation des covoitureur.euse.s, et ce en complémentarité avec l’offre privée.

Une initiative d’autant plus pertinente qu’elle s’inscrit en lien avec les politiques publiques de transport et d’aménagement du territoire, mais aussi des politiques d’insertion pour le retour à l’emploi via la mobilité.

Ainsi, les collectivités du Grand-Ouest disposeront d’un service public de covoiturage unique et commun pour accompagner les entreprises dans leur Plan de mobilité, favoriser les transports, l’intermodalité, permettre la mise en relation de conducteurs solidaires et de personnes éloignées de l’emploi…    

Une plateforme gratuite

Le principal atout de Ouestgo réside dans sa gratuité pour les automobilistes qui proposent des trajets. Aucune commission n’est prélevée et aucune publicité n’est affichée sur le site. Le seul coût du trajet consiste dans l’indemnisation au conducteur. 

Selon les principes du covoiturage, les covoitureurs partagent leur trajet, en échange d’une participation aux frais. Cette contribution aux frais est à la discrétion du conducteur, qui peut décider d’une participation ou non, avec cependant l’interdiction de réaliser un bénéfice sur son trajet. Il devra donc recevoir une indemnisation totale inférieure au coût total réel du trajet.


Une plateforme Solidaire

Dernière caractéristique: la possibilité de faire appel à un service de covoiturage solidaire. Le covoiturage solidaire est une forme de covoiturage ponctuel pour aider une personne sans solution de mobilité pour se déplacer vers un travail, une formation, un stage, une mission d’intérim, un entretien d’embauche... Ainsi, le covoiturage solidaire vise à apporter une solution supplémentaire de déplacement vers l’emploi.

Autre élément de la plateforme qui participe à cette dimension solidaire : la possibilité de créer et d’animer une communauté d’intérêt, c’est-à-dire un réseau de covoitureurs qui partagent un même lieu de destination (par exemple : entreprise, zone d’emploi) et des trajets similaires vers un pôle d’activité, ou encore la possibilité pour chacun de créer des évènements pour permettre aux covoitureur de se rendre ensemble à un évènement public ou privé, comme une séance de cinéma, ou leur festival favori !

Aboutissant à un nouvel outil collaboratif à disposition des Bretons et des Ligériens pour leur trajets courts ou longs, quotidiens ou ponctuels, Ouestgo s’inscrit ainsi comme exemple de coopération entre territoires pour le changement des habitudes de transport !

   

Pour en savoir plus :  Communiqué de Presse et description du projet Ouestgo

Pour s’inscrire sur Ouestgo : https://www.ouestgo.fr/

Depuis début 2018, une liaison fluviale est en expérimentation entre Nantes et Saint-Nazaire. Ce mode de transport alternatif à la route, à destination des acteurs économiques, est plus respectueux de l’environnement et plus économique pour de grands volumes.

C’est en 2011 que l’idée de ce service a émergé, puis été inscrite en 2014 et 2015 dans les Schéma logistique métropolitain et dans le projet stratégique du port de Nantes Saint-Nazaire. Pour amorcer et pérenniser ce nouveau service, Nantes Métropole, Saint-Nazaire Agglomération et Nantes Saint-Nazaire Port ont formé un groupement de commandes et apporteront une participation financière pour couvrir les risques financiers. C’est CLT, filiale de la Compagnie Fluviale de Transport (CFT) qui a remporté l’appel d’offre et qui exploitera le service pour 5 ans.

Pour le moment, une ligne régulière est mise en place entre Cheviré et Montoir, avec 5 rotation/semaines, ou 240/an, avec pour unique client Airbus. L’ambition est de développer un service multi-filière et multisite : avec 9 liaisons complémentaires offrant un maillage de l’estuaire de la Loire, répondant aux besoins variés des acteurs locaux, fluidifiant la circulation routière et contribuant ainsi au développement durable du territoire.

>>>> Pour en savoir plus

L’aboutissement du Grand Débat

Après 18 mois de mobilisation, la feuille de route du Grand Débat sur la Transition Energétique de Nantes Métropole vient d’être adoptée. 15 ambitions et 33 engagements y sont pris. Loin de signer l’arrêt du processus, ce document amorce une nouvelle étape dans la transition énergétique de la métropole.  

C’est à la suite d’un long travail de concertation que cette feuille de route a vu le jour. Le débat à proprement parler s’est déroulé de septembre 2016 à avril 2017, avec un programme dense et inspirant : auditions publiques, contributions individuelles, cahiers et séminaires d’acteurs, réflexions au sein de communautés citoyennes formées pour l’occasion (les activateurs, les astucieux, etc.)…

Au total, 53 000 personnes y auront pris part, formulant plus de 11 000 contributions, analysées et compilées dans un rapport remis aux maires de la métropole par une commission indépendante. C’est à partir de ce rapport que les communes et la métropole ont pu se lancer dans la production de la feuille de route.   

3 singularités, 15 ambitions, 33 engagements

Doubler le nombre de chantiers de rénovation pour lutter contre la précarité énergétique, réduire de 30% l’usage « solo » de la voiture, mettre fin au bus diesel d’ici 2020, créer la première canopée urbaine énergétique et végétale en faisant des toitures des espaces cultivables et producteurs d’énergie, viser 50 % d’énergies locales et renouvelables et un urbanisme décarboné d’ici 2020, créer 100 labs citoyens en mettant en réseau les lieux de la métropole dédiés à la transition énergétique…

Les ambitions de la feuille de route sont variées et les engagements concrets. Ils s’appuient notamment sur les trois singularités de la transition « à la nantaise » mis en lumière par le Grand Débat. Ces singularités affirment la volonté de « penser l’avenir en rupture » en menant une transition énergétique 100 % citoyenne, au bénéfice de 100% des habitants et valorisant 100 % des ressources renouvelables locales.


Pour découvrir la feuille de route >>>>>

Pour en savoir plus sur le Grand Débat >>>>>

La Métropole invite les citoyens à signer une pétition en ligne pour exprimer son soutien à cette feuille de route >>>>>

De plus en plus de villes ont pour objectif de devenir des smarts cities, ou villes intelligentes, et cette démarche s’accélère en France en même temps que la pression démographique s’intensifie en ville. La smart city permet en effet de répondre à de nombreux enjeux, en étant moins énergivore, plus agréable à vivre et plus sûre.

Le NexityLab a fait une étude de notre territoire pour déterminer les caractéristiques des smart cities en France et quelles étaient celles qui étaient les plus avancées.

Les villes étudiées prennent de nombreuses initiatives pour obtenir leur statut de smart city, parmi lesquelles nous trouvons l’ouverture de leurs données, la mise en place d’un wifi public, la création d’une plateforme participative et la multiplication des fablabs ; mais aussi le développement de l’e-administration pour faciliter les démarches des concitoyens et la mise en place d’un mobilier urbain de communication. Au total, ces innovations feraient économiser pas moins de 9,2 milliards d’euros aux collectivités !

Parmi ces villes françaises, Nantes sort du lot, puisque la ville se hisse à la deuxième place des smart cities de l’hexagone ! Elle se distingue comme ville pionière dans l’open data : on recense 1,5 million de connexions par mois sur le portail open data de Nantes Métropole et 48 apps nées en six ans d’ouverture des données. L’application “Nantes dans ma poche”, dédiée à la mobilité et permettant de signaler un problème sur la voie publique ou encore de consulter la circulation de la ville en temps réel, participe également de ce statut de ville intelligente. Du côté des citoyens, 84% des habitants de la métropole sont d’accord pour dire qu’internet et les outils numériques leur facilitent le quotidien.

Une belle mise en avant des efforts de Nantes métropole vers l’avenir ! 

Pour consulter l’infographie dans son intégralité, c’est ici.

Le Mois de l’ESS a lieu chaque année dans toute la France. Il est animé en région par les Chambres Régionales de l’ESS (CRESS). Cette année marque sa 10eme édition.

L’objectif de l’initiative ? Faire découvrir le plus largement possible diverses initiatives d’Economie Sociale et Solidaire (ESS) pour diffuser une autre façon de voir l’économie, « une économie qui a du sens ».

Jeudi 30 novembre se tenait le dernier évènement du Mois de l’ESS ligérien intitulé « Découvrez le Guide des Bonnes pratiques, ou comment transformer une opportunité de la loi ESS en opportunité ». Organisé par la CRESS des Pays de la Loire, il s’est terminé avec la remise du prix régional de l’ESS en présence de M. Paul Jeanneteau, Vice-Président du Conseil régional et Alain DURAND, Président de la CRESS des Pays de la Loire.

Le Guide des Conditions d'Amélioration continue des Bonnes Pratiques de l’ESS
 Celui-ci a pour vocation d’engager l’ensemble des acteurs et actrices de l’ESS dans une dynamique d’amélioration individuelle et de convergence collective sur des principes au cœur de l’identité de l’ESS.

Suite à la présentation du guide par M. Gérard LE SEUL du Conseil Supérieur de l’ESS, une série d’ateliers ont été proposés jeudi dernier pour faciliter son appropriation. L’atelier n°4 « Comment je valorise les résultats du guide » a été animé par Alexandre Pleurdeau, Chargé de mission territoires durables au Comité 21 Grand Ouest. L’atelier n°2 « Comment faire pour le mettre en œuvre ? » était quant à lui piloté par Nicolas Martin, RSCOP et membre du Comité d’experts du réseau.

Alexandre nous livre son ressenti sur le guide : « Incontestablement, le guide est en adéquation avec les valeurs de l’ESS. Il y a fort à parier qu’un grand nombre de structures de l’ESS répondent déjà à des indicateurs qu’ils proposent. Toutefois, le guide va plus loin car il permet d’engager une démarche d’amélioration continue et de progrès ». Il ajoute : « l’application du guide par les structures est une obligation réglementaire. Il convient donc désormais de le faire connaître et de l’appliquer aux structures régionales de l’ESS. Le Comité 21 va prendre part à cette diffusion ».

Le lauréat du prix régional de l’ESS
Des prix ESS sont organisés au niveau national : le prix de l’impact local, le prix de l’innovation sociale et le prix Coup de cœur. Le prix ESS régional a été attribué cette année à « Le Goût des Autres » qui favorise l’intégration des personnes immigrées à travers la découverte, la connaissance et la diffusion des cultures étrangères grâce aux pratiques culinaires.

Pour en savoir plus sur le Guide des bonnes pratiques de l’ESS, c’est ici, sur le Mois de l’ESS, c’est ici.

Pour connaitre les lauréats de cette 10eme édition, c’est ici. 

Souvenez-vous, « La transition énergétique, c’est nous ! » : c’était le sujet du Grand Débat, lancé par la métropole nantaise en septembre 2016, dans l’objectif d’accélérer la transition du territoire. 200 jours de débat, 53 000 participants dont 11 000 contributeurs, 160 cahiers d’acteurs déposés et 760 contributions individuelles plus tard, ce sont 12 axes « d’accélération », détaillés en 60 actions que la commission citoyenne a pu dégager.

Leurs conclusions ont été présentées en septembre, mais il reste encore à étudier comment ces axes peuvent être mis en place au sein de la métropole. C’est pourquoi ce Grand Débat et ses conclusions feront l'objet, le 7 décembre, d'un  "rendez-vous de la transition énergétique et du climat" au terme duquel sera adoptée une feuille de route, issue des réflexions citoyennes. Cette feuille de route alimentera ensuite le nouveau plan climat de la Métropole.

La journée se déroulera en deux temps, avec une matinée consacrée au Grand Débat, son bilan et ses perspectives, et la rédaction partagée d'une feuille de route de la transition énergétique. L’après-midi sera consacré aux volets adaptation air et climat du PCAET, en abordant les questions du changement climatique et de son adaptation, les enjeux de la qualité de l’air en Métropole et le retour d’expérience d’acteurs engagés sur l’adaptation.

Cette journée aura lieu le Jeudi 7 décembre 2017 de 09h00 à 17h00 à l’Université de Nantes - Campus du Tertre (Nouveau Tertre).

Le Comité 21 sera bien sûr présent à cette journée qui reprend certains de ses grands axes de travail de prédilection !

Les places sont limitées, inscrivez-vous ici.

« La transition énergétique, c’est nous ! » : c’était le sujet du Grand Débat, lancé par la métropole nantaise en septembre 2016, dans l’objectif d’accélérer la transition du territoire. 200 jours de débat avec un calendrier dense, 53 000 participants dont 11 000 contributeurs , 160 cahiers d’acteurs déposés et 760 contributions individuelles : c'est le bilan du Grand Débat. Le Comité 21 Grand Ouest y avait également participé, en organisant un débat "Transition Energétique et comportementale" en mars dernier avec la Fédération Française du Bâtiment 44, POUGET, La Nantaise d'Habitations et EDF, et en déposant un cahier d'acteurs. La commission indépendante chargée d’analyser les contributions vient de présenter son rapport, devant les 24 maires de la métropole.

Les contributions ont donné lieu à 12 axes « d’accélération », détaillés en 60 actions. Parmi les « accélérations » proposées : l’isolation des bâtiments, la production locale d’énergie renouvelable,  les transports, les déchets, l’alimentation, mais aussi la Loire comme axe de développement, ou encore l’exemplarité des collectivités et l’implication des entreprises.


Ces conclusions serviront à la préparation de la feuille de route transition énergétique qui devra être adoptée par le Conseil Métropolitain début 2018.

Une présentation publique aura lieu le 20 septembres, ouverte à tous. Antoine Charlot, directeur du Comité 21 et Alexandre Pleurdeau, chargé de mission territoire durable, y seront tous deux présents.

Découvrez le détail du rapport ici.

Informations pratiques 

Présentation publique : le 20 septembre à partir de 18h, à l’Insula 11 rue Arthur III à Nantes 

Crédits photo : Nantes Métropole

En lien avec sa compétence en coordination gérontologique, Nantes Métropole s’associe à la Conférence des financeurs du fonds « Prévention de la perte d’autonomie » pour lancer l’appel à projets « Prévention et autonomie. » Jusqu’au 18 août 2017, il est ainsi possible de proposer des initiatives répondant aux besoins des 60 ans et plus de Loire-Atlantique : promotion de la santé et du « bien vieillir », maintien du lien social, prévention des risques et amélioration de l’information en lien avec ces thématiques. Pour ce faire, les projets peuvent être force de proposition pour adapter les habitudes de vie des personnes âgées et faciliter leur accompagnement par l'entourage proche. En octobre prochain, la Conférence des financeurs de la prévention de la perte d’autonomie réunira Nantes Métropole et ses autres partenaires pour déterminer les dossiers retenus et financés. Pour en savoir plus

Pour Nantes métropole, « Il s’agira, dès cette année, en lien avec l’incubateur d’entreprises des Ecossolies, de soutenir et de financer plus de quatorze projets par an, dans les domaines des services à la personnes ou aux familles, dans les circuits cours et l’alimentation, l’habitat et la construction, le numérique, ou encore la gestion des déchets et leur réemploi. » explique André Sobczak, adjoint-au-maire de la ville de Nantes.

Financements de 5 acteurs régionaux

La décision de cette création d’un fonds d’amorçage ESS Nantes factory, a été votée, à l'unanimité, au conseil métropolitain du 26 juin dernier. Le fonds disposera pour l'année de financements de la métropole, du fonds régional spécialisé Fondes, du Crédit municipal de Nantes complétés par des fonds de la Caisse d'Épargne et de l'Ademe.

"Vous êtes une femme, salariée, en poste (cadre ou agent de maîtrise), domiciliée à Nantes Métropole et motivée pour agir pour l’égalité professionnelle : rejoignez-nous !

 L’écart de salaires entre femmes et hommes est aujourd’hui équivalent à 17,4 % en France. L’accompagnement à la négociation est l’un des leviers majeurs pour réduire cet écart (avec la sensibilisation des entreprises et la lutte contre les stéréotypes).

Nous proposons des modules de formation gratuits de 3 heures en collectif, animés par des expert-e-s de l’égalité professionnelle qui vous donneront les clés d’une négociation réussie.


Le lancement des premiers modules aura lieu en septembre 2017.

Si vous êtes intéressée, cliquez ici pour vous inscrire.Si vous voulez en savoir plus, contactez Anne-Laure Guihéneuf, chargée d'études pour la chaire RSE et référente égalité professionnelle pour RSEnantes.

*La négociation salariale comprend le salaire mais aussi la rémunération variable, la flexibilité du temps de travail, les avantages en nature… Initié et piloté par la Chaire RSE d’Audencia Business School, ce programme est co-construit dans le cadre de la Plateforme RSE de la métropole nantaise avec les réseaux territoriaux engagés pour l’égalité professionnelle."

RSE - Nantesmétropole.fr

Après réflexion engagée depuis 2009 par élus nantais et nazairiens, l’idée d’un transport fluvial a alors resurgi à l’occasion du débat citoyen « Nantes, la Loire et nous ».
Ce projet est à l’initiative de la Carene, Nantes métropole et le Port de Nantes Saint-Nazaire.

  

#FlexiLoire, un nouveau service de transport fluvial sur la #Loire à partir de janvier 2018 https://t.co/1rpduiS5tK | Photo CLT pic.twitter.com/pkms7EBhNh— Nantes Métropole (@NantesMetropole) 19 avril 2017

Un nouveau service de transport de marchandises par voie fluviale va être lancé à partir de janvier 2018, entre Cheviré et Montoir, avec 5 rotations par semaine. FlexiLoire, nom donné pour ce nouveau transport fluvial, a pour objectif de reporter les flux de marchandises de l’axe routier Nantes-Saint-Nazaire sur la Loire, grâce à sa ligne régulière.  En complémentarité, le service FlexiLoire desservira tout l’estuaire : Indret, Roche-Maurice, Couëron, la Carnet ou encore Donges.

Le dispositif FlexiLoire sera subventionné pendant cinq ans par Nantes métropole et la Carene à raison de 60 000 et 40 000 euros par an.

A lire aussi : Nantes Métropole : forte contribution aux objectifs du Plan Climat Territorial avec un nouveau réseau de chaleur renouvelable

L’objectif de Nantes Métropole, engagée depuis plusieurs années dans la transition énergétique via sa politique publique de l'énergie et son Plan Climat, est de réduire ses émissions de CO2 : de 30% par habitant d'ici 2020*, 50% à l'horizon 2030 et 75% en 2050. Elle souhaite que, d'ici à 2020, 10% de ses logements soient raccordés à un réseau de chaleur vertueux.

Nord Chézine : un nouveau réseau de chaleur innovant et « intelligent » réduira les émissions locales de plus de 17 000 tonnes de CO2/an

  Aujourd’hui, avec déjà deux réseaux de chaleur structurants sur la région nantaise (Bellevue et Centre Loire), Nantes Métropole souhaite poursuivre cette dynamique avec la construction d’un nouveau réseau de chaleur d’origine renouvelable et de récupération, à tarif maîtrisé. A l’horizon 2020, ce réseau Nord Chézine, permettra de réduire les émissions locales de plus de 17 000 tonnes de CO2/an.


Un réseau de chaleur renouvelable à plus de 80%

Dès octobre 2019, ce seront environ 7 400 logements, majoritairement des logements sociaux, et de nombreux équipements (groupe scolaires, bâtiments administratifs, foyers...) qui seront chauffés grâce à 84 % d'énergies renouvelables et de récupération (80% issus de la récupération d'énergie sur le CTVD et 4% de la biomasse). « A la clé pour Nantes Métropole : à l'horizon 2021, 32 km de réseau et 82 sous-stations pour délivrer, près de 90 000 MWh/an de chaleur à environ 9 500 logements et de nombreux équipements dans le secteur Nord-Ouest de Nantes (communes de Nantes, Saint-Herblain et Orvault). »  Info Presse

Une solution Smart Grid

Pour ce réseau de chaleur, « Idex propose une solution de pilotage NTIC (Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication) qui lui permet non seulement de gérer de manière proactive la consommation et la performance énergétique du réseau mais également, de donner à la collectivité et les abonnés un accès sécurisé à un portail en ligne présentant une interface conviviale, accessible et compréhensible par tous. »  Info Presse

Implanté à Nantes, le Comité 21 Grand Ouest a pleinement contribué au Grand Débat Transition Energétique de Nantes Métropole, qui se déroulait de septembre 2016 jusqu’à mars 2017, en proposant 2 cahiers d’acteurs.
Le Comité 21, piloté par le chargé de mission territoires durables et ses partenaires (EDF, FFB Loire Atlantique, La Nantaise d’Habitations, Pouget Consultants) ont remis un cahier d’acteurs sur la transition énergétique et comportementale dans le logement dans le cadre du Grand Débat pour la Transition Energétique de Nantes Métropole. Découvrez les recommandations issues d’une réflexion collective associant des organismes d’éducation / formation, un cabinet de conseil, des professionnels du bâti, des entreprises et des acteurs publics (collectivité, service de l’Etat).

En parallèle, la chargée de mission RSO a participé à la contribution au Grand Débat de la plateforme RSE de la métropole nantaise, dont le Comité 21 Grand Ouest est membre actif. De ces réunions pluri-acteurs (associations, syndicats, monde économique, institutions…) est né une vision de ce que pourrait être le territoire de Nantes Métropole d’ici 2022, date à laquelle la transition énergétique aura bien évidemment été réussie par tous ! Des propositions sont assorties à cet exercice de prospective.  

Découvrez le cahier d’acteurs « Transition Energétique : Réussir la transition énergétique, vision et propositions » de la plateforme RSE de la métropole nantaise.

Découvrez le cahier d’acteurs « Transition Energétique : Leviers pour la transition énergétique et comportementale » dans les logements du Comité 21 en partenariat avec EDF, de la FFB Loire-Atlantique, la Nantaise d'Habitations et Pouget Consultants

Découvrez l’ensemble des cahier d’acteurs : https://www.nantestransitionenergetique.fr/je-m-implique/cahiers-d-acteurs